Le président de l’Arcom,Roch-Olivier Maistre (au premier plan),et Guillaume Blanchot,ex-directeur général de l’Arcom (à droite),à l’Assemblée nationale,à Paris,le 21 mars 2024. KARIM DAHER/HANS LUCAS Quand Le Monde lui a demandé ce qu’il retenait de ses six années à la présidence de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom,ex-CSA),Roch-Olivier Maistre a parlé sans s’interrompre pendant vingt-six minutes. Modernisation d’une instance régulant désormais le numérique,stabilité de l’audiovisuel public,protection des mineurs vis-à-vis des sites pour adultes,lutte contre le piratage… avec toujours,insiste-t-il,le souci du pluralisme et du respect de la loi de 1986 sur la liberté de la communication qu’il a contribué à élaborer,en « jeune conseiller » qu’il était alors.
Lundi 20 janvier,c’est devant un parterre de ministres,de parlementaires,de présidents d’entreprises,de médias et d’institutions que M. Maistre a prononcé un discours solennel mais gai,inédit dans l’émotion qu’il laissait transparaître. Car non seulement celui qui aura 70 ans en novembre referme le long chapitre de la régulation de l’audiovisuel,marqué par six règlements et directives européens et une douzaine de lois nationales,mais il clôt une riche carrière administrative,commencée à la Mairie de Paris (1982-1986),poursuivie au cabinet de François Léotard,à la direction de la Comédie-Française (1993-1995),à l’Elysée,ou encore à la Cour des comptes.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.