Un habitant tente d’évacuer son domicile lors des inondations dans le quartier de Jatinegara,à Djakarta,le mardi 4 mars 2025. BAGUS SARAGIH/AFP Les inondations provoquées par d’importantes pluies les lundi 3 et mardi 4 mars à Djakarta ont fait au moins deux morts et des milliers de sinistrés,et ont conduit à une paralysie partielle de la capitale indonésienne. Si ce bilan,qui pourrait s’alourdir,reste bien inférieur aux 70 morts comptabilisés lors de graves inondations en 2020,il révèle le défi persistant auquel est confrontée la mégapole,en raison de la subsidence des sols,due au pompage sauvage de l’eau souterraine,et de l’élévation du niveau des mers sous l’effet du réchauffement climatique.
Un peu plus de 31 millions de personnes vivent dans le grand Djakarta,qui regroupe cinq villes satellites et est traversé par d’innombrables rivières et canaux. L’agence météorologique indonésienne a fait savoir que les pluies à forte intensité pourraient se prolonger jusqu’au 11 mars.
A l’est de la capitale,huit des douze arrondissements de Bekasi,l’une des cinq villes satellites de Djakarta,qui compte à elle seule 2,5 millions d’habitants,ont été inondés. Mardi,un torrent d’eau boueuse a submergé le rez-de-chaussée d’un centre commercial géant,le Mega Bekasi Hypermall,sans faire de victime mais forçant les occupants à se réfugier dans les étages supérieurs après l’effondrement d’une partie de la berge d’un cours d’eau voisin. L’incident illustre les risques du surdéveloppement urbain dans cette ville qui,selon le Jakarta Post,a accueilli le plus grand nombre de projets de centres commerciaux du grand Djakarta entre 2023 et 2025.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.