Raphaël Rodriguez dans son laboratoire de l’Institut Curie (Inserm-CNRS),à Paris,en décembre 2023. ART IN RESEARCH ET LE SOUTIEN DE LA FONDATION BETTENCOURT SCHUELLER Comment éradiquer les cellules cancéreuses qui ont acquis la capacité de résister aux traitements standards et qui risquent de semer des métastases à travers l’organisme ? Tel est le défi qu’a voulu relever l’équipe de Raphaël Rodriguez,à l’Institut Curie (Inserm-CNRS),à Paris. L’enjeu est de répondre à un besoin médical criant. Les traitements anticancéreux actuels,en effet,ciblent essentiellement les cellules tumorales non métastatiques,qui ne migrent pas encore à travers l’organisme mais qui prolifèrent rapidement. Or les métastases sont responsables de 70 % des décès par cancer,rappelle l’Institut Curie.
Forte de sa double compétence,en chimie et en biologie,l’équipe de Raphaël Rodriguez a conçu une molécule sur mesure qui vise le talon d’Achille des cellules tumorales dites « persistantes »,car elles parviennent à survivre aux thérapies conventionnelles. Mieux encore,les chercheurs montrent,dans des modèles in vitro et chez la souris,le potentiel thérapeutique de cette molécule dans des cancers difficiles à traiter,comme les tumeurs du pancréas ou les cancers du sein métastatiques. Un travail publié dans la revue Nature du 7 mai.
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