A l’heure des bonnes résolutions,celles d’Ubisoft,le champion français des jeux vidéo,sont claires : soigner la santé financière de l’entreprise. Jeudi 9 janvier,il a publié un « point stratégique » pour expliquer sa feuille de route pour les mois à venir.
Première information,le lancement du nouvel opus de la licence Assassin’s Creed est une nouvelle fois reporté. Attendue au départ pour la fin de l’année 2024 – période propice aux ventes de jeux vidéo –,sa sortie est maintenant prévue pour le 20 mars,afin d’affiner les derniers détails de ce qui est annoncé comme le meilleur épisode de la licence,qui permet aux joueurs de remonter le temps dans des décors fidèlement restitués. Ce délai doit permettre aux développeurs du jeu d’intégrer les retours faits par ses primo-utilisateurs,et en garantir le succès.
Ubisoft garde,en effet,le souvenir douloureux de la récente commercialisation de Star Wars Outlaws,à l’été 2024,sur laquelle la société avait beaucoup misé,et dont les ventes ont été décevantes. Sans parler de l’arrêt prématuré du jeu XDefiant,annoncé à peine plus de six mois après son lancement.
Autant d’épisodes qui ont malmené la société,dont le cours de Bourse est en berne. L’action Ubisoft,qui avait dépassé 100 euros en juillet 2018,s’établit aujourd’hui autour de 12 euros.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».