COLCANOPA L’offensive est lancée et elle s’annonce sérieuse. Menée au nom de la liberté d’expression par Donald Trump et les géants américains de la tech,au premier rang desquels le réseau social X d’Elon Musk,elle a pour cible la jeune réglementation européenne du numérique ainsi que la politique de la concurrence de Bruxelles qui a valu des milliards d’euros d’amendes à Apple,Google ou Facebook ces dernières années.
Le ralliement à ce combat de Mark Zuckerberg – que Donald Trump,exaspéré d’avoir été interdit de Facebook et Instagram après l’assaut du Capitole le 6 janvier 2021,promettait jusqu’à peu de mettre en prison – est un coup dur pour l’Union. Le 7 janvier,le patron de Meta a,à son tour,fait allégeance au président élu. « Nous allons travailler avec le président Trump pour faire pression sur les gouvernements du monde entier qui s’en prennent aux entreprises américaines »,a-t-il déclaré.
En annonçant la fin du fact-checking pour son groupe aux Etats-Unis et en dénonçant « la censure » de l’Union européenne (UE),il a aussi repris la rhétorique d’Elon Musk. Ces dernières semaines,M. Musk,qui sera chargé de « l’efficacité gouvernementale » au sein de la future administration Trump,s’est pour sa part invité dans les débats politiques au Royaume-Uni et en Allemagne,où il soutient l’AfD d’extrême droite pour les élections fédérales du 23 février.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».