L’ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi,à Rome,le 30 août 2010. ANDREAS SOLARO / AFP Nicolas Sarkozy,aux côtés de trois anciens ministres,est jugé depuis le lundi 6 janvier par la 36e chambre correctionnelle de Paris,accusé d’avoir noué un « pacte de corruption » avec Mouammar Kadhafi. L’ex-« guide » libyen,au pouvoir de 1969 jusqu’à son lynchage en 2011,aurait participé illégalement au financement de sa campagne présidentielle de 2007 en contrepartie,notamment,d’une forme de lobbying français facilitant le retour du paria libyen sur la scène internationale à la fin des années 2010. Des accusations que l’ancien président français a rejetées formellement aux premiers jours de son procès.
Il serait aventureux de pronostiquer l’issue de ce procès-fleuve,prévu jusqu’au 10 avril. Mais la personnalité du guide libyen et les pratiques mises en œuvre pour atteindre ses objectifs politiques – sur le continent africain tout particulièrement – durant son long règne autorisent à envisager que cette affaire n’aurait pas constitué son premier « pacte de corruption ». Mouammar Kadhafi aimait en effet faire des cadeaux pour gagner des fidélités. « Notamment lors de ses visites à l’étranger,fastueuses,pour lesquelles il ne se déplaçait jamais sans des valises d’argent liquide »,explique un familier de plusieurs présidents africains de l’époque.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».