Des résidences secondaires construites sur le littoral à Saint-Gildas-de-Rhuys (Morbihan),le 17 novembre 2021. FRANCOIS DESTOC / PHOTOPQR/LE TELEGRAMME/MAXPPP Voilà une enquête qui va alimenter un peu plus les débats sur la difficulté à habiter le rivage breton,un territoire sous tension où les résidences secondaires poussent comme des champignons et les retraités affluent. Le média d’investigation Splann ! publie « Littoral breton : la tentation du béton »,un travail documenté croisant différents jeux de données,notamment les permis de construire,les documents d’urbanisme,les études de l’Insee… afin de mesurer l’artificialisation des contours de la Bretagne et de Loire-Atlantique.
Si l’émergence de nouveaux lotissements ou l’expansion de zones commerciales ne sont pas étonnantes,l’ampleur et surtout l’efficacité du phénomène interpellent. Entre 2014 et 2024,la surface bétonnée a progressé de 8 % sur cette bande littorale large de cinq kilomètres qui représente 15 % de la péninsule (520 000 hectares) et abrite le quart de la population locale. Quelque 6 400 nouveaux hectares de terres naturelles ou agricoles ont ainsi été transformés. Les élus parlent d’aménagements nécessaires pour attirer de nouveaux habitants et permettre aux entreprises de créer des emplois.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».