A l’extérieur d’un magasin d’échange de cryptomonnaies après que le Bitcoin a dépassé les 100 000 dollars,à Hong Kong,en Chine,le 5 décembre 2024. TYRONE SIU/REUTERS Normalisation ou malaise ? Il est trop tôt pour interpréter l’incapacité du bitcoin à inscrire un nouveau record depuis l’entrée en fonctions de Donald Trump,le 20 janvier. Le plus connu des cryptoactifs avait dépassé pour la première fois 109 000 dollars (104 570 euros) quelques heures avant la cérémonie d’investiture,mais il s’est replié depuis. Jeudi 30 janvier,il s’échangeait contre un peu plus de 105 000 dollars.
Le nouveau locataire de la Maison Blanche,qui avait promis,pendant la campagne présidentielle,de faire des Etats-Unis la « capitale mondiale » des cryptoactifs,n’a pourtant pas tardé à passer à l’action,signant dès le 23 janvier un décret présidentiel (executive order) sur le « renforcement du leadership américain dans la technologie financière numérique ».
Le texte vise à faciliter l’accès des citoyens et des entreprises privées aux blockchains,la technologie qui sert de colonne vertébrale aux cryptos,tout en « promouvant et protégeant la souveraineté du dollar des Etats-Unis ». Pas question,en revanche,que les Etats-Unis créent une monnaie numérique de banque centrale (MNBC),un cryptoactif qui serait émis par la Réserve fédérale (Fed). Les MNBC sont pourtant à l’étude dans la plupart des grandes banques centrales du monde,mais,pour l’administration Trump,elles pourraient compromettre tout à la fois « la stabilité du système financier,la vie privée individuelle et la souveraineté des Etats-Unis ».
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».