SÉVERIN MILLET Et le programme d’éducation à la vie affective,relationnelle et à la sexualité fut ! Après environ deux ans d’élaboration entre atermoiements politiques et polémiques,le premier programme scolaire consacré à ce sujet sensible a été publié au Bulletin officiel de l’éducation nationale,jeudi 6 février,pour une entrée en application à la rentrée 2025.
Le programme s’intitule « éducation à la vie affective et relationnelle » à l’école primaire. S’y ajoute « et à la sexualité » au collège pour marquer la progressivité des apprentissages. Les notions de consentement ou d’intimité traversent toute la scolarité,mais sont adaptées à chaque âge. A la croisée avec l’éducation à la citoyenneté,le texte se place sur le terrain des valeurs. « Cette éducation se fonde sur les principes et valeurs de la République,parmi lesquelles l’égalité,l’accès de tous à l’éducation et la laïcité »,précise le préambule. La lutte contre les violences sexistes et sexuelles,la protection de l’enfance,la prévention face à la prolifération des images pornographiques font partie des raisons d’être de ce programme scolaire.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».