Des véhicules électriques Tesla,à Corte Madera,en Californie,le 20 décembre 2024. JUSTIN SULLIVAN / GETTY IMAGES VIA AFP L’année 2024,celle du retour en fanfare de Donald Trump à la Maison Blanche,n’aura guère été favorable à Tesla. Pour la première fois de son histoire,la marque fondée en 2003 a enregistré un recul de ses ventes mondiales,certes limité à 1 %. Faut-il entrevoir les prémices d’un « effet Musk » dans cette contre-performance ? Les analystes restent prudents. Il faut dire que,dans son ensemble,le marché mondial des voitures électriques est à la peine (sauf en Chine),en raison,notamment,d’une érosion des aides à l’achat.
Emergent quelques signaux faibles qui suggèrent cependant que l’attrait de la marque pourrait être affecté par les engagements politiques affichés par son patron. En Allemagne,où Elon Musk a apporté un soutien bruyant au parti d’extrême droite AfD,quelques semaines avant les élections du 23 février,les immatriculations du constructeur ont plongé de 41 % en 2024,contre 18 % pour l’ensemble des ventes de véhicules électriques,en raison principalement de la suppression des aides à l’achat.
Outre-Rhin,les fournisseurs d’électricité verte LichtBlick et Badenova ont,rapporte le journal Les Echos,banni les Tesla de leurs flottes d’entreprise,afin de marquer leur attachement à « la diversité,la tolérance et la démocratie ».
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».