Dans l’arrière-cour du département de police de South Pasadena après le dévoilement de la nouvelle flotte de voiture de police à zéro émission,en Californie,le 29 juillet 2024. DAMIAN DOVARGANES / AP Dans le massacre général des politiques démocrates,aucune raison d’épargner les véhicules électriques. Dès son arrivée à la Maison Blanche,Donald Trump a commencé à démanteler les mesures mises en place par son prédécesseur,Joe Biden,pour soutenir le marché des voitures propres et éliminer progressivement les véhicules à moteur thermique. Une offensive qui vise directement la Californie,l’Etat pionnier en matière de réglementation de la pollution atmosphérique.
Dans un décret signé le 20 janvier (Unleashing American Energy),le président républicain a désavoué l’objectif fixé par son prédécesseur à ses compatriotes à l’été 2021 : amener les voitures électriques à représenter la moitié des voitures neuves vendues aux Etats-Unis avant 2030. Critiquant le « mandat » imposé,selon lui,aux constructeurs automobiles par le démocrate,M. Trump a promis de rendre aux Américains « la liberté d’acheter la voiture de leur choix ».
Le milliardaire de l’immobilier a également annoncé le gel des financements attribués au réseau de bornes de recharge,bien que les fonds aient déjà été alloués par le Congrès. Il a annoncé préparer la suppression du crédit d’impôt de 7 500 dollars (7 195 euros) alloués par l’Etat fédéral aux acheteurs de véhicules électriques. Et il n’a pas fait mystère de son intention de révoquer l’autorité que possède la Californie pour fixer ses propres normes d’émissions et de consommation de carburant,un signe de l’importance du Golden State dans la lutte contre les énergies fossiles.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».