L’Ecole nationale supérieure d’architecture de Toulouse. ENSA Désiré depuis plus de vingt ans,devenu réalité en 2020 quand l’architecte Pierre-Louis Faloci en a remporté le concours de maîtrise d’œuvre,le projet d’extension et de rénovation de l’Ecole nationale supérieure d’architecture (ENSA) de Toulouse va-t-il ou non voir le jour ? La situation est bloquée depuis le mois d’avril 2024,date où les représentants de la métropole et du conseil départemental de la Haute-Garonne ont refusé de siéger au comité de pilotage au cours duquel ils devaient,au même titre que l’Etat et la région,confirmer leur engagement financier pour que puissent démarrer les travaux. En cause,le dérapage du budget. De 26 millions d’euros,ce dernier est passé à 33,5 millions,notamment en raison de l’inflation du coût des matériaux. Les deux partenaires minoritaires qui s’étaient,chacun,engagés à investir 2 millions d’euros au moment du concours ont alors refusé de remettre au pot.
Respectivement engagés à hauteur de 10,6 et 11,4 millions d’euros,l’Etat,propriétaire du foncier,et la région,maître d’ouvrage de l’opération,comptaient sur eux. Espérant débloquer la situation,le ministère de la culture a ensuite créé la surprise au mois d’août 2024 en accordant 2 millions d’euros supplémentaires. Rien n’y a fait. L’échéance des offres a été prorogée par deux fois,et vendredi 7 mars,elle ne pourra plus l’être. Le projet de Pierre-Louis Faloci,dans son état actuel du moins,serait définitivement caduc.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».