« Le bilan des SCPI [sociétés civiles de placement immobilier] de l’année 2024 démontre encore une grande stabilité du taux de distribution avec une moyenne de 4,73 % »,note,dans une étude publiée début février,la plateforme France SCPI. Cependant,derrière cette constance se cachent de grandes disparités dans la performance de ces produits qui investissent dans l’immobilier professionnel (bureaux,hôtels,centres commerciaux,entrepôts,locaux pour établissements de santé…).
France SCPI a calculé l’écart-type du taux de distribution,une mesure de dispersion autour du rendement moyen. Plus il est élevé,plus les différences entre les SCPI sont marquées. Or,cet indicateur est passé de 0,89 % en 2022,ce qui témoigne « d’un marché homogène,avec des rendements proches de la moyenne »,à 1,75 % en 2024,ce qui révèle « une fragmentation inédite : certaines SCPI offrent des rendements très élevés à plus de 10 % annualisés,tandis que d’autres sont en net retrait »,expose le bilan.
Pourtant,il faut continuer de s’intéresser à ces produits,particulièrement si vous souhaitez profiter de revenus réguliers. Le timing semble favorable. « On est en bas de cycle sur le secteur immobilier,les investissements réalisés en 2025 vont être profitables »,juge Jean-Marc Peter,directeur général de Sofidy,qui gère une dizaine de fonds immobiliers.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».