Mohamed Amra est escorté par des officiers de police,à l’aéroport international Henri-Coanda de Bucarest,le 25 février 2025. OCTAV GANEA/VIA REUTERS Il n’a fallu que quelques jours,parfois une poignée d’heures,pour que soient interpellés les complices présumés de Mohamed Amra,narcotrafiquant arrêté en Roumanie,le 22 février,au bout de neuf mois de traque. Vendredi 28 février,sept nouvelles personnes ont été mises en examen,parmi lesquelles quatre ont été placées en détention provisoire. Onze l’avaient déjà été,jeudi 27 février,dont neuf incarcérés. Leurs profils dessinent un réseau d’hommes de main ayant chacun une tâche précise à accomplir pour favoriser le projet d’évasion,puis assister leur leader : voleur de voiture,chauffeur,guetteur…
Si ses complices étaient prêts à se salir les mains pour lui,c’est qu’il n’y a pas si longtemps encore,« La Mouche » maculait les siennes sans hésitation. A l’été 2021,le surnom de Mohamed Amra,déjà « très défavorablement connu des services de police »,apparaît au détour d’une procédure de la police judiciaire de Rouen,saisie à la suite d’un règlement de comptes sur la terrasse d’un bar de Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime). Le tireur présumé,qui est descendu d’une moto de grosse cylindrée,est identifié comme ce jeune délinquant multirécidiviste en plein essor.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».