Philippe Palazzi,directeur général du groupe Casino,à Bastia (Haute-Corse),le 25 avril 2024. PASCAL POCHARD-CASABIANCA / AFP Après être passé près de la sortie de route début 2024,le groupe de distribution Casino (Naturalia,Cdiscount,Monoprix,Franprix…),qui avait été contraint de céder en urgence l’ensemble de ses 427 hypermarchés et supermarchés,a annoncé ses premiers résultats annuels depuis l’arrivée aux commandes,il y a un an,de son nouvel actionnaire,un consortium emmené par l’homme d’affaires tchèque Daniel Kretinsky. Après neuf mois de restructuration et un plan social qui a touché 2 200 personnes,le groupe Casino est encore en perte,« mais les résultats sont en forte amélioration »,a jugé vendredi 28 février Philippe Palazzi,son directeur général.
Après son redimensionnement,la perte nette du groupe consolidé a été réduite à 295 millions d’euros,contre 5,661 milliards d’euros en 2023. Et ce,malgré un chiffre d’affaires en recul de 2,6 % en données comparables (5,4 % au total),à 8,5 milliards. Là où l’ancien Casino de Jean-Charles Naouri,deux fois plus gros,cumulait plus de 30 milliards d’euros de chiffre d’affaires les bonnes années (30,5 milliards en 2021).
En 2024,l’activité économique s’est repliée dans presque toutes les enseignes du groupe,dans un marché de la grande consommation orienté à la baisse (− 0,5 % de chiffre d’affaires chez Franprix,− 3,6 % pour Casino,Vival et Spar,stable pour Monoprix). A l’exception de Naturalia (+ 4,7 %),qui a bénéficié du redressement du marché du bio. « Mais la progression a été séquentielle tous les trimestres,ce qui est de bon augure pour la suite »,a souligné M. Palazzi.
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