Des véhicules sont chargés sur un camion à la sortie de l’usine Volkswagen de Hanovre (Allemagne),le 17 décembre 2024. FABIAN BIMMER/REUTERS Un vrai soulagement pour les constructeurs automobiles européens,un nouveau renoncement des ambitions climatiques de l’Europe pour les défenseurs de l’environnement. Lundi 3 mars,Ursula von der Leyen,la présidente de la Commission européenne,a annoncé la mise en place d’un mécanisme de flexibilité pour éviter aux constructeurs automobiles en retard sur les objectifs de réductions des émissions de CO2 de payer des amendes cette année.
Alors que les ventes des véhicules zéro émission ont baissé en 2024 et que les plafonds d’émissions de CO2 que les constructeurs doivent respecter en 2025 chutent cette année de 15 %,l’Association européenne des constructeurs automobiles (ACEA) a mené campagne pour repousser l’application de ces normes à 2027.
En 2025,s’alarmait une note blanche de l’ACEA révélée par Le Monde en septembre 2024,les entreprises qui ne respecteront pas ces normes risquaient plusieurs milliards d’euros d’amendes ou de devoir réduire leur production de deux millions de véhicules,ce qui pourrait se traduire par la fermeture d’au moins une demi-douzaine d’usines. Alors qu’Audi,l’une des marques phares du groupe Volkswagen,vient de fermer son usine bruxelloise,cette campagne de lobbying a fortement résonné dans la capitale européenne. La nouvelle Commission a donc lancé,courant janvier,un dialogue stratégique avec l’ensemble de la filière,dont les premières mesures doivent être présentées dans leur intégralité mercredi.
Il vous reste 71.52% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».