Dans une cave exportant du vin aux Etats-Unis,à Penafiel (Espagne),le 7 février 2025. VIOLETA SANTOS MOURA / REUTERS Le couperet n’est pas encore tombé. Mais les menaces de taxation agitées par Donald Trump inquiètent les producteurs de vins,de spiritueux et de produits laitiers français. Alors que le président américain a instauré,mardi 4 mars,des droits de douane de 25 % sur les importations canadiennes et mexicaines,et a élevé à 20 % celles de la Chine,il a fait monter la pression sur le secteur agricole européen. Dans un message posté sur son réseau social Truth Social,lundi 3 mars,il a affirmé qu’il comptait imposer des droits de douane sur les produits agricoles entrant aux Etats-Unis à compter du 2 avril. Incitant dans le même temps les agriculteurs américains à produire plus.
Face à cette perspective assombrie,la Fédération des exportateurs de vins et de spiritueux de France (FEVS) préfère rester discrète dans ses commentaires tant que l’« on ne connaît ni les pays concernés (y compris hors UE),ni les produits qui seraient visés,ni les taux qui seraient retenus ». Il est vrai que les positions américaines sont mouvantes. Mercredi 5 mars,l’application de la taxe sur les importations en provenance du Canada et du Mexique a finalement été amendée pour les véhicules fabriqués dans ces deux pays,avec un répit d’un mois.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».