Des déchets plastiques sont stockés avant d’être triés et compactés pour le recyclage,dans le centre Trigironde,à Saint-Denis-de-Pile (Gironde),le 19 décembre 2024. THIBAUD MORITZ / AFP La mise sur le marché des emballages plastiques a augmenté de 3,3 % en France entre 2018 et 2021,selon l’Agence de la transition écologique. De quoi inquiéter lorsque,dans le même temps,se multiplient les alertes sur la pollution des mers et des sols par les microplastiques et leurs répercussions sur la santé humaine. Avec 27 % d’emballages en plastique recyclés en 2023 – dont 59 % des bouteilles en circulation –,la France peut largement mieux faire. C’est loin de la moyenne de ses voisins européens la même année,estimée à 40 % par Eurostat,et encore plus de l’objectif fixé par Bruxelles de 55 % d’ici à 2030.
Notre geste de tri pourrait sans aucun doute être amélioré. Bac jaune ou pas bac jaune ? Si les règles ont été simplifiées en 2023 – tous les emballages,mêmes sales,doivent y être déposés–,force est de constater qu’une grande partie de nos déchets plastiques finissent dans les ordures ménagères. Toutefois,le tri ne fait pas tout. « Il s’agit d’une première étape,mais ce n’est pas parce qu’on est capable de mieux trier nos déchets plastiques,qu’on est capable de mieux les recycler »,relève Nathalie Gontard,chercheuse en sciences des emballages et directrice de recherche à l’Institut national de recherche pour l’agriculture,l’alimentation et l’environnement.
Il vous reste 65.85% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».