Le président sortant de Nissan,Makoto Uchida,à Yokohama (Japon),le 13 février 2025. YUICHI YAMAZAKI / AFP Jérémie Papin,Guillaume Cartier,Ivan Espinosa… Avant le début d’un conseil d’administration crucial pour Nissan,mardi 11 mars en fin de journée à Tokyo,trois noms – deux français,un mexicain – étaient évoqués par la presse japonaise pour prendre la succession de Makoto Uchida,l’actuel PDG,et parmi eux,aucun japonais. C’est un signe de la profondeur de la crise qui secoue l’ancien partenaire de Renault dans l’Alliance.
A l’issue du conclave,c’est finalement le Mexicain Ivan Espinosa,responsable de la planification et donc du lancement des produits,qui a été choisi pour prendre la direction de Nissan,à compter du 1er avril.
Le nouveau dirigeant a devant lui un double défi. Mener à bien le plan de restructuration annoncé en octobre 2024,visant à réduire de 20 % les capacités de production de Nissan,avec 9 000 suppressions d’emplois à la clé. Et reprendre les discussions en vue d’un rachat par son concurrent Honda pour former le quatrième groupe mondial. Celles-ci ont été interrompues le 13 février,mais,quelques jours plus tard,le Financial Times annonçait que Toshihiro Mibe,le directeur général de Honda,était prêt à les rouvrir après le départ de Makoto Uchida.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».