Delphine Ernotte,l’actuelle présidente de France Télévisions,à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis),le 4 mars 2021. LUDOVIC MARIN/AFP Deux jours avant que Cannes ne dévoile sa Palme d’or et sans cérémonie particulière,France Télévisions connaîtra le nom de celui ou celle qui la dirigera pour les cinq prochaines années. Telle est l’ambition que s’est fixée l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) en annonçant,mardi 11 mars,lancer la procédure de nomination à la tête de la société nationale de programme.
Le rétroplanning qui s’impose au régulateur laissait peu de place à l’improvisation. Le deuxième mandat de Delphine Ernotte s’achevant le 21 août,et une période de tuilage de trois mois devant être respectée,le prochain dirigeant ou la prochaine dirigeante de France Télévisions doit être nommé(e) « au plus tard le 22 mai »,a expliqué le président,Martin Ajdari,lors d’un point presse.
Pour l’heure,seuls le journaliste de France Télévisions et délégué syndical (SNJ) Serge Cimino,déjà candidat en 2015 et 2020,et la productrice et ancienne députée (La République en marche,puis Union des démocrates et indépendants et Libertés et territoires) Frédérique Dumas ont confirmé être candidats. L’un et l’autre souffrent d’un handicap : comme ils seraient atteints par la limite d’âge (65 ans) en cours de mandat,il faudrait qu’un décret modifie la loi pour qu’ils puissent exercer.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».