Le patron de Leonardo,Roberto Cingolani,à Farnborough,au sud-ouest de Londres,le 23 juillet 2024. JUSTIN TALLIS / AFP Roberto Cingolani est un homme pressé. Les formalités ne l’intéressent guère,pas plus que les méandres de la politique. Ce physicien distingué croit au primat de la technologie débarrassée de régulations jugées envahissantes et des atermoiements de la vie démocratique. Agé de 63 ans,il est connu pour son style direct et son goût pour l’approche long-termiste,chère aux géants de la tech,et pour son aversion pour les cravates. L’administrateur délégué de Leonardo,grand groupe d’armement et d’aéronautique italien,appréhende la question urgente de la défense européenne avec plus de foi en la capacité des industriels à conjuguer leurs efforts que dans celle des gouvernements à jouer un rôle moteur.
« En France,en Allemagne,en Italie,nous avons,comme groupe de l’industrie de défense,un important devoir social,revendique Roberto Cingolani,lors d’une rencontre avec Le Monde. Les gouvernements sont de sensibilités diverses et ont du mal à se coordonner. Si nous trouvons des accords entre nous,puis que nous en montrons les avantages aux Etats,nous indiquerons la voie. »
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».