On trouverait dans les rangs de la jeune génération nombre de fainéants et d’impatients. Les seniors seraient de leur côté caractérisés par leur rigidité et leur lenteur à la tâche,tout en apparaissant largement dépassés face aux innovations informatiques…
Les stéréotypes d’âge sont légion en entreprise. Et s’ils sont nombreux,ils sont également néfastes à la bonne marche des organisations,préviennent Elodie Gentina,professeure associée à l’Iéseg School of Management,et Jérémy Lamri,entrepreneur et cofondateur du Lab RH,dans leur ouvrage,Le Défi du management intergénérationnel (Dunod). Des idées reçues qui limitent,à leurs yeux,la compréhension des équipes et de leurs attentes mais aussi la fluidité des rapports au sein des collectifs de travail.
Il y a donc,pour les auteurs,urgence à s’en détacher,et à adopter une vision plus fine et moins cloisonnée des générations en entreprise – sans pour autant nier certaines de leurs singularités,au premier rang desquelles les « différences de rapport à l’autorité ».
De fait,les organisations font face à plusieurs défis qui leur imposent une remise à plat de leur management pour privilégier une approche intergénérationnelle. « L’accélération de l’innovation technologique tend à creuser un fossé entre les générations »,constate Mme Gentina. L’évolution démographique est un autre sujet d’attention. « La population vieillit,on reste de plus en plus tard en emploi,note-t-elle. Quatre générations peuvent se côtoyer dans l’entreprise. Comment travailler ensemble ? »
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».