Nasser Al-Khelaïfi,président du Paris Saint-Germain,à Liverpool,le 10 mars 2025. PAUL CURRIE/AFP A l’instar de poupées russes,les procédures pénales se déploient en France autour de Nasser Al-Khelaïfi,dit « NAK ». Comme l’a appris Le Monde,le président qatari du Paris Saint-Germain (PSG) et patron du groupe BeIN Media est visé par une nouvelle information judiciaire. Cette procédure a été ouverte après une plainte avec constitution de partie civile déposée en septembre 2023 par l’ancien majordome marocain de « NAK »,Hicham Karmoussi. Il dénonce des faits de « travail dissimulé,emploi d’étranger sans autorisation de travail,harcèlement moral ».
Comme le confirme le parquet de Paris,un juge d’instruction a été désigné,le 18 avril,pour instruire cette procédure ouverte après « analyse » de la plainte et un « réquisitoire introductif »,pris par le ministère public le 12 février. Antoine Ory,avocat de M. Karmoussi,salue « une étape importante pour ce volet dont les infractions sont parfaitement caractérisées et que M. Karmoussi attendait depuis longtemps. »Gardien de tous les secrets de son ex-patron,M. Karmoussi est aujourd’hui l’un des protagonistes centraux des procédures judiciaires autour de « NAK ».
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».