Les parachutistes du 8ᵉ RPIMa de Castres,à Cugnaux (Haute-Garonne),le 17 janvier 2019. FREDERIC SCHEIBER / SIPA Deux semaines après le dépôt de quatre plaintes,le vendredi 9 mai,pour « violences volontaires »,« menaces »,« harcèlement moral » ou encore « mise en danger de la vie d’autrui » émanant de militaires passés par le prestigieux 8ᵉ régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa),plusieurs inspecteurs de l’armée de terre ont été dépêchés,depuis le 19 mai,au quartier Fayolle,la caserne du « 8 ». L’affaire,révélée par France 2 et Le Parisien,est prise très au sérieux au ministère des armées,et met sous pression cette unité d’élite des forces françaises,basée à Castres,dans le Tarn.
L’enquête de commandement et l’instruction judiciaire s’annoncent longues. La plainte de ces soldats,que Le Monde a pu consulter,est dense,constituée de témoignages très circonstanciés,avec parfois photos,vidéos et schémas à l’appui. Déposée auprès du tribunal judiciaire de Paris,elle est constituée de « trente-deux témoignages,dont six anonymes »,selon leur avocat,Mᵉ Thibault Laforcade. Les témoins qui ont déposé sous leur vraie identité savent qu’ils s’exposent à des poursuites en cas de fausses déclarations : un an de prison et 15 000 euros d’amende.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».