Teddy Riner veut refaire chanter Le Coq sportif. Le judoka français fait partie des soutiens à la reprise de la marque française de sport placée en redressement judiciaire depuis le 22 novembre 2024.
Les administrateurs judiciaires ont reçu deux offres de reprise. Elles sont en cours d’amélioration,précise une source proche du dossier. Le tribunal des affaires économiques de Paris devrait se prononcer,au cours de la dernière semaine de juin ou début juillet.
La marque fondée en 1882 à Romilly-sur-Seine (Aube) emploie 330 salariés. Son activité industrielle,partiellement conservée dans ce berceau historique de la bonneterie française,fait encore tourner des sous-traitants locaux,dont des teinturiers et des tricoteurs de maille. Tous redoutent l’issue de cette procédure entamée quelques mois après la tenue des Jeux olympiques et des paralympiques de Paris.
En 2020,à la barbe de Lacoste,Le Coq sportif avait décroché le contrat d’équipementier officiel de l’équipe de France,fournissant des milliers de maillots,combinaisons et autres survêtements aux 571 athlètes sélectionnés. Mais ce contrat avait perturbé la bonne marche de l’entreprise et sa trésorerie. Sa maison mère,Airesis,société d’investissement suisse détenue par l’entrepreneur Marc-Henri Beausire,avait été contrainte de recourir à de gros emprunts,notamment auprès du Comité d’organisation de Paris 2024 et la Banque publique d’investissement. Mais bien qu’ayant honoré toutes ses commandes pour Paris 2024,Le Coq sportif est toujours lourdement déficitaire. Près de vingt ans après en avoir pris le contrôle,Airesis jette finalement l’éponge fin 2024,déclarant Le Coq sportif en cessation de paiements.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».