Depuis juin 2022,les assureurs sont obligés de publier sur leur site Internet un récapitulatif standardisé des différents coûts prélevés sur leurs contrats.
Ce tableau permet à l’épargnant de mieux distinguer les deux postes-clés de facturation que sont,d’un côté,les frais propres au contrat (pris sur les versements,sur l’en-cours au titre de la gestion annuelle et sur les arbitrages) et,de l’autre,ceux qui sont inhérents aux supports souscrits par le biais des unités de compte (UC).
Aussi indispensable soit-elle,cette information reste perfectible. Exprimés sous forme de moyenne par grande catégorie d’actifs,les frais internes des UC ne correspondent pas forcément à la réalité de ceux qui sont prélevés à l’assuré.
Fermement incités,en 2023,par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution à se délester des UC susceptibles d’amputer « toute espérance de rendement »du fait de leur cherté,les assureurs-vie ont en effet commencé à séparer le bon grain de l’ivraie. « Nous avons déjà fermé la commercialisation de 25 % d’UC et renouvelons cet audit chaque année »,indique François-Régis Bernicot,président du directoire de Suravenir (groupe Crédit mutuel Arkéa).
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