La « tiny house » de Sèvres-Anxaumont (Vienne),le 19 septembre 2024. NADIA REINARD / POITOU HABITAT JEUNES A Sèvres-Anxaumont,dans la banlieue de Poitiers,une tiny house fait désormais partie du paysage. Cette petite maison mobile,individuelle et meublée,qui sera inaugurée en février,est l’une de celles que prévoit d’installer l’association Poitou Habitat Jeunes pour aider les jeunes actifs à se loger dans les communes alentour. A l’origine de sa promotion,un projet de mécénat original porté par la Fondation territoriale de la Vienne.
Ce dernier démarre en 2021,lorsqu’une dizaine de responsables de petites entreprises du coin décident de se rassembler en vue de faire « quelque chose » pour leur territoire. Au début,ils n’ont pas forcément d’idée précise,si ce n’est qu’ils veulent mener à bien des actions de développement durable. Des ateliers mensuels ont lieu,menés de concert avec la région,le département et l’agglomération du Grand Poitiers,puis des priorités sont fixées,d’abord sur les enjeux de mobilité pour tous. Dix associations sont sélectionnées pour recevoir les premières subventions,dont L’Arantelle,qui promeut des scooters électriques pour les plus précaires.
Il vous reste 71.48% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Le fonds américain doit revoir drastiquement la rentabilité de son investissement dans FiberCop, société gestionnaire du réseau numérique italien, chargée de déployer la fibre dans la Péninsule.
Les investissements colossaux des monarchies pétrolières dans les activités culturelles, touristiques et sportives ne relèvent pas simplement d’une stratégie de diversification économique, décrypte le politiste Alexandre Kazerouni, dans un entretien au « Monde ».
La publication des résultats des épreuves de vérification des connaissances a ravivé la colère des syndicats et associations de praticiens diplômés hors de l’Union européenne, qui font tourner les hôpitaux français. Malgré des notes parfois bien au-dessus de la moyenne, certains des 4 000 postes ouverts n’ont pas été pourvus.
Les sociétés exploitant un parc de plus de 100 voitures sont en théorie soumises à des quotas croissants d’achat de voitures électriques (20 % en 2025). Mais les trois quarts ne respectent pas cette obligation, selon une étude de l’ONG Transport & Environnement.