Devant le siège de la BNP Paribas,à Paris,le 4 février 2025. LUDOVIC MARIN / AFP De justesse : le Crédit mutuel Alliance fédérale (CMAF) a annoncé,jeudi 6 février,une hausse de 0,2 % de son bénéfice net annuel. Les cinq grands groupes bancaires français (CMAF,BNP Paribas,BPCE,Crédit agricole et Société générale) affichent ainsi tous des profits en hausse en 2024,à 32,2 milliards d’euros au total,soit 11 % de plus qu’en 2023.
Ces bons résultats ont profité de la reconstitution de la marge nette d’intérêt (la différence entre le taux auxquels les banques prêtent aux ménages et aux entreprises et celui auquel elles se financent elles-mêmes),mais,surtout,de l’évolution des marchés financiers mondiaux au quatrième trimestre,qui a dopé les activités de banque de financement et d’investissement.
Les élections américaines,le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et les spéculations sur sa politique ont en effet nourri la volatilité,donc les volumes et les marges dans les activités de taux et de changes comme dans la gestion d’actifs. Une tendance qui devrait se poursuivre en 2025,entre tensions commerciales et divergence des politiques monétaires.
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Le fonds américain doit revoir drastiquement la rentabilité de son investissement dans FiberCop, société gestionnaire du réseau numérique italien, chargée de déployer la fibre dans la Péninsule.
Les investissements colossaux des monarchies pétrolières dans les activités culturelles, touristiques et sportives ne relèvent pas simplement d’une stratégie de diversification économique, décrypte le politiste Alexandre Kazerouni, dans un entretien au « Monde ».
La publication des résultats des épreuves de vérification des connaissances a ravivé la colère des syndicats et associations de praticiens diplômés hors de l’Union européenne, qui font tourner les hôpitaux français. Malgré des notes parfois bien au-dessus de la moyenne, certains des 4 000 postes ouverts n’ont pas été pourvus.
Les sociétés exploitant un parc de plus de 100 voitures sont en théorie soumises à des quotas croissants d’achat de voitures électriques (20 % en 2025). Mais les trois quarts ne respectent pas cette obligation, selon une étude de l’ONG Transport & Environnement.