Ronan Dantec,sénateur EELV de Loire-Atlantique,est l’un des élus porteurs du projet de fonds territorial. A Nantes,le 13 janvier 2020. OLIVIER LANRIVAIN / PHOTOPQR/PRESSE OCEAN/MAXPPP Noyé au milieu des centaines de pages du projet de loi de finances (PLF) adopté jeudi 6 février,d’un montant relativement modeste,le fonds territorial climat a tout pour passer sous les radars. La philosophie de ce nouveau dispositif désiré par les collectivités locales paraît pourtant intéressante à de nombreux défenseurs de la cause climatique.
L’idée,portée depuis deux ans par Ronan Dantec,sénateur écologiste de Loire-Atlantique,et par Nicole Bonnefoy,sénatrice socialiste de la Charente,est de réserver des subventions aux intercommunalités qui se sont dotées d’un plan climat,c’est-à-dire d’une stratégie de verdissement adossée aux objectifs climatiques de la France. « Cette forme de contractualisation financière peut agir comme un moteur pour territorialiser l’action en faveur du climat »,résume Nicolas Garnier,délégué général d’Amorce,un réseau de collectivités engagées dans la transition écologique.
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