Lors d’un examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS),au Sénat,à Paris,le 26 novembre 2024. ALAIN JOCARD / AFP Clap de fin pour le second grand texte budgétaire examiné en ce début d’année 2025. Le Sénat a approuvé,lundi 17 février,dans les mêmes termes que l’Assemblée nationale,le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS),permettant son adoption définitive. Le texte,à l’origine de la chute du gouvernement de Michel Barnier en décembre 2024,avait été adopté quelques jours plus tôt par les députés,après le rejet de trois motions de censure déposées à la suite des recours à l’article 49.3 de la Constitution,qui permet de faire adopter un texte sans vote, par le gouvernement.
La santé fait partie des sujets sur lesquels le gouvernement Bayrou,à peine nommé,a voulu donner des gages. Le budget de l’hôpital et de la médecine de ville,cet « Ondam »,comme le veut l’acronyme en vigueur pour désigner l’objectif national de dépenses d’Assurance-maladie,inscrit dans le budget de la Sécurité sociale,a été fixé,pour 2025,à hauteur de + 3,4 % par rapport à 2024. Soit un geste de 1 milliard d’euros supplémentaire pour l’hôpital,alors que cet objectif avait été établi dans le texte initial,à l’automne,par le gouvernement Barnier,à + 2,8 %.
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Le fonds américain doit revoir drastiquement la rentabilité de son investissement dans FiberCop, société gestionnaire du réseau numérique italien, chargée de déployer la fibre dans la Péninsule.
Les investissements colossaux des monarchies pétrolières dans les activités culturelles, touristiques et sportives ne relèvent pas simplement d’une stratégie de diversification économique, décrypte le politiste Alexandre Kazerouni, dans un entretien au « Monde ».
La publication des résultats des épreuves de vérification des connaissances a ravivé la colère des syndicats et associations de praticiens diplômés hors de l’Union européenne, qui font tourner les hôpitaux français. Malgré des notes parfois bien au-dessus de la moyenne, certains des 4 000 postes ouverts n’ont pas été pourvus.
Les sociétés exploitant un parc de plus de 100 voitures sont en théorie soumises à des quotas croissants d’achat de voitures électriques (20 % en 2025). Mais les trois quarts ne respectent pas cette obligation, selon une étude de l’ONG Transport & Environnement.