Le logo DeepMind,le 16 février 2025. DADO RUVIC / REUTERS Google DeepMind a dévoilé,mercredi 12 mars,deux versions de ses modèles d’intelligence artificielle (IA) pour la robotique : Gemini Robotics et Gemini Robotics-ER. Leur but ? « Rendre l’IA utile dans le monde physique,explique l’entreprise. Jusqu’ici,les capacités [de leurs modèles d’IA à mieux résoudre des requêtes complexes en texte,image,audio et vidéo] ont été largement confinées au domaine numérique. »
Contrairement aux robots conversationnels et assistants virtuels comme ChatGPT ou Gemini,ces modèles visent à accomplir des tâches dans le monde réel,pour une utilisation industrielle ou domestique. L’annonce de Google DeepMind est accompagnée de vidéos de démonstration d’actions réalisées avec deux bras robotiques : ranger un crayon dans un pot,effacer une ardoise,ranger des outils sur un mur,bouger des fruits dans une corbeille ou marquer avec un mini ballon dans un mini panier de basket… Ces modèles « posent les bases d’une nouvelle génération de robots qui pourront être utiles dans diverses applications »,a prédit,sur X,le PDG de Google,Sundar Pichai.
Il vous reste 83.34% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Le fonds américain doit revoir drastiquement la rentabilité de son investissement dans FiberCop, société gestionnaire du réseau numérique italien, chargée de déployer la fibre dans la Péninsule.
Les investissements colossaux des monarchies pétrolières dans les activités culturelles, touristiques et sportives ne relèvent pas simplement d’une stratégie de diversification économique, décrypte le politiste Alexandre Kazerouni, dans un entretien au « Monde ».
La publication des résultats des épreuves de vérification des connaissances a ravivé la colère des syndicats et associations de praticiens diplômés hors de l’Union européenne, qui font tourner les hôpitaux français. Malgré des notes parfois bien au-dessus de la moyenne, certains des 4 000 postes ouverts n’ont pas été pourvus.
Les sociétés exploitant un parc de plus de 100 voitures sont en théorie soumises à des quotas croissants d’achat de voitures électriques (20 % en 2025). Mais les trois quarts ne respectent pas cette obligation, selon une étude de l’ONG Transport & Environnement.