Dans une école catholique à Liuhe,dans la province du Shanxi,en Chine,en septembre 2011. JASON LEE / REUTERS Quelques heures seulement séparent l’élection du pape François,le 13 mars 2013,de celle de Xi Jinping à la présidence de la République populaire de Chine,le 14. Le Vatican entretenant des relations diplomatiques avec Taïwan,et Pékin ayant expulsé,en 1951,le nonce apostolique,les deux hommes ne se sont jamais rencontrés. Pourtant,le pape argentin n’a jamais fait mystère de vouloir se rapprocher de Pékin. Se rendant en Corée du Sud en octobre 2014,il fut autorisé à survoler l’espace aérien chinois. Une licence que n’avait pas reçue Jean Paul II,en 1999,lors de la précédente visite d’un pape en Asie. A cette occasion,François a envoyé un message radio à Xi Jinping. « En entrant dans l’espace aérien chinois,je présente mes meilleurs vœux à votre excellence et à vos concitoyens. J’appelle les bénédictions divines de la paix et du bien-être sur le pays. »
Lors du vol retour,un journaliste italien lui demande : « Auriez-vous le désir d’aller en Chine ? » François répond : « Mais bien sûr : demain ! Eh,oui. Nous respectons le peuple chinois ; seulement,l’Eglise demande la liberté pour sa mission,pour son travail ; aucune autre condition. »
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