Un ouvrier regarde un train de laminage à chaud dans l’aciérie d’ArcelorMittal à Florange (Moselle),le 4 avril 2024. FREDERICK FLORIN/AFP C’est un « projet de réorganisation pour faire face à la crise de l’acier » qu’a annoncé,mercredi 23 avril,ArcelorMittal. Affirmant avoir déjà mis en œuvre « toutes les mesures possibles d’adaptation à court terme »,le premier groupe sidérurgiste européen,deuxième mondial,a expliqué dans un communiqué devoir « envisager des mesures de réorganisation pour adapter son activité au nouveau contexte du marché et assurer sa compétitivité future ».
Celles-ci devraient entraîner la suppression « d’environ 600 postes » sur sept sites d’ArcelorMittal France Nord,entité qui compte près de la moitié des 15 400 salariés du groupe dans l’Hexagone : Dunkerque et Mardyck (Nord),Florange (Moselle),Basse-Indre (Loire-Atlantique),Mouzon (Ardennes),Desvres (Pas-de-Calais) et Montataire (Oise).
Selon la CFDT et la CGT,630 postes seraient concernés,230 dans des fonctions dites « support »,400 à la production. Le détail n’est pas encore connu,200 à 250 postes pourraient être concernés à Dunkerque,entre 120 et 150 à Florange,une centaine à Basse-Indre.
Le fonds américain doit revoir drastiquement la rentabilité de son investissement dans FiberCop, société gestionnaire du réseau numérique italien, chargée de déployer la fibre dans la Péninsule.
Les investissements colossaux des monarchies pétrolières dans les activités culturelles, touristiques et sportives ne relèvent pas simplement d’une stratégie de diversification économique, décrypte le politiste Alexandre Kazerouni, dans un entretien au « Monde ».
La publication des résultats des épreuves de vérification des connaissances a ravivé la colère des syndicats et associations de praticiens diplômés hors de l’Union européenne, qui font tourner les hôpitaux français. Malgré des notes parfois bien au-dessus de la moyenne, certains des 4 000 postes ouverts n’ont pas été pourvus.
Les sociétés exploitant un parc de plus de 100 voitures sont en théorie soumises à des quotas croissants d’achat de voitures électriques (20 % en 2025). Mais les trois quarts ne respectent pas cette obligation, selon une étude de l’ONG Transport & Environnement.