La députée (Renaissance) du Finistère,Sandrine Le Feur, au Palais-Bourbon,à Paris,en 2023. ASSEMBLÉE NATIONALE Un objectif ambitieux,une mise en œuvre complexe et,désormais,une bataille de position au Parlement… En ce printemps,Matignon va devoir trancher entre plusieurs textes pour faciliter ou,au contraire,repousser la mise en œuvre du « zéro artificialisation nette » (ZAN). Cette mesure de la loi Climat et résilience de 2021 prévoit une neutralité de l’artificialisation en France en 2050.
Mercredi 21 mai,des députés de plusieurs groupes (Ensemble pour la République [EPR] ; Libertés,indépendants,outre-mer et territoires [LIOT] ; Horizons ; MoDem ; Parti socialiste ; écologistes) ont présenté une proposition de loi « pour réussir la transition foncière ».
La neutralité prévue en 2050 « n’est ni symbolique ni théorique »,a déclaré Sandrine Le Feur,la présidente (Renaissance,EPR) de la commission du développement durable et de l’aménagement du territoire de l’Assemblée nationale,mais une « réponse indispensable à l’urgence climatique,à l’effondrement de la biodiversité,à la perte de nos terres agricoles et à la dégradation,silencieuse mais continue,de la qualité écologique de nos sols ».
Il vous reste 82.2% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Les investissements colossaux des monarchies pétrolières dans les activités culturelles, touristiques et sportives ne relèvent pas simplement d’une stratégie de diversification économique, décrypte le politiste Alexandre Kazerouni, dans un entretien au « Monde ».
Le fonds américain doit revoir drastiquement la rentabilité de son investissement dans FiberCop, société gestionnaire du réseau numérique italien, chargée de déployer la fibre dans la Péninsule.
La publication des résultats des épreuves de vérification des connaissances a ravivé la colère des syndicats et associations de praticiens diplômés hors de l’Union européenne, qui font tourner les hôpitaux français. Malgré des notes parfois bien au-dessus de la moyenne, certains des 4 000 postes ouverts n’ont pas été pourvus.
Les sociétés exploitant un parc de plus de 100 voitures sont en théorie soumises à des quotas croissants d’achat de voitures électriques (20 % en 2025). Mais les trois quarts ne respectent pas cette obligation, selon une étude de l’ONG Transport & Environnement.