La présidente de l’Arcep,Laure de La Raudière,alors députée de centre droit du parti Agir,à l’Assemblée nationale,à Paris,le 28 avril 2020. DAVID NIVIERE/AFP C’est,in fine,une fausse bonne nouvelle pour les opérateurs qui souhaiteraient consolider le marché français des télécoms. Lors d’une conférence de presse à Paris,l’Autorité de régulation des communications électroniques,des postes et de la distribution de la presse (Arcep),le régulateur du secteur,s’est enfin prononcé,ce vendredi 23 mai,sur la perspective d’un retour à trois opérateurs,alors que la possibilité d’une opération autour de SFR électrise le marché. Laure de La Raudière,la présidente de l’autorité a,à cette occasion,soufflé le chaud et le froid sur cette éventualité.
D’un côté,elle affirme que l’Arcep « n’a pas de position de principe » sur la consolidation. « Il n’y a pas de chiffre magique »,a-t-elle ajouté,précisant qu’elle attendrait qu’« un projet de fusion » soit officiellement lancé pour l’étudier,et se prononcer. « Aujourd’hui,le marché est concurrentiel en France,et nous restons attachés à cet objectif »,a-t-elle insisté. De quoi satisfaire,a priori,les opérateurs qui songeraient à fondre sur SFR,le numéro deux des télécoms derrière Orange.
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