La menace planait depuis plusieurs années. Après neuf mois de redressement judiciaire,l’abattoir d’Alès (Gard) va cesser son activité à partir du 15 janvier. La structure,gérée par la Société d’économie mixte des abattoirs Alès Cévennes (SEMAAC),présidée par le maire d’Alès Max Roustan (LR),avait été liquidée par le tribunal de commerce de Nîmes le 12 décembre 2024. Il s’agit du seul abattoir de grosse capacité dans le Gard.
Sur place,élus locaux et acteurs de la filière (chambre d’agriculture et syndicats agricoles) ont multiplié les rencontres afin d’imaginer une solution pour les 600 clients réguliers,des éleveurs comme des chevillards,venant aussi bien du Gard que des départements voisins. La dernière option envisagée,selon une source proche du dossier,repose sur un partenariat entre l’agglomération d’Alès,propriétaire des murs,qui mettrait le lieu à disposition d’un repreneur (un groupement composé de bouchers et d’éleveurs locaux),pour permettre une reprise de l’activité assez rapidement,en février dans le meilleur des cas. Mais rien n’est encore confirmé.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.