Le site de Parcoursup,le 15 janvier 2025. ANNA KURTH / AFP L’initiative détonne dans le paysage de l’enseignement supérieur : ouvrir aux seules femmes une voie de recrutement postbac,ce n’est juridiquement pas possible pour une université ou une grande école publiques. Il en va différemment pour l’EPF Engineering School,une école d’ingénieurs privée sous contrat avec l’Etat,dont l’appellation d’origine est Ecole polytechnique féminine.
En plus des quelque 600 places offertes par un concours,l’établissement vient d’annoncer la création de 50 places supplémentaires,au recrutement distinct,à destination des futures bachelières,qui ont jusqu’au 13 mars pour adresser leur candidature sur Parcoursup,en vue de rejoindre l’un des campus à Paris-Cachan,Troyes,Montpellier ou en Loire-Atlantique à Saint-Nazaire.
Pilotée depuis 1991 par une fondation reconnue d’utilité publique dont la mission est dédiée à la formation des femmes dans les domaines scientifique et technique,l’EPF a obtenu le feu vert du ministère de l’enseignement supérieur. « Avec la fondation,nous bénéficions d’une protection constitutionnelle du caractère propre de l’établissement,explique son directeur général,Emmanuel Duflos. L’école peut donc consacrer son énergie à la raison d’être de la fondation. »
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.