« Les femmes sont comme les fraises sur un gâteau : il en faut toujours plus »,déclarait le pape François,le 5 décembre 2014,devant la Commission théologique internationale. « L’un des plus grands péchés que nous ayons commis a été de “masculiniser” l’Eglise »,répète le souverain pontife argentin dans ses Mémoires publiées le 15 janvier (Espère,Albin Michel,400 pages,22,90 euros).
Douze ans après son élection,les femmes n’ont pourtant toujours pas le droit d’être ordonnées prêtre ou diacre,ni donc d’accéder aux fonctions d’évêque,de cardinal ou de pape,et restent exclues de nombreuses responsabilités ecclésiales.
Malgré cet épais plafond de verre,le sommet de l’Eglise commence,un peu,à se féminiser. Le pourcentage de femmes travaillant à la Curie,le gouvernement du Vatican et de l’institution ecclésiale,est passé de 19,3 % à 26,1 % depuis l’élection de François en 2013,un record. Et certaines ont accédé à des postes haut placés qu’aucune femme n’avait occupés jusque-là.
Le pape François et Simona Brambilla,le 8 janvier 2025,au Vatican. VATICAN MEDIA / AP Il vous reste 83.33% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Des associations ont agrégé les listes noires des gérants d’actifs et fonds de pension mondiaux. Y figurent près de 5 500 entreprises, dont 73 françaises, dans lesquelles ces sociétés financières refusent d’investir, les jugeant nuisibles à la planète ou à la société.