Karim Al-Hussaini,dit l’Agha Khan IV,entouré de fidèles ismaéliens nizârites,à Versoix (Suisse),le 13 juillet 1957. INP/AFP Rares sont les leaders religieux à recevoir des éloges si unanimes après leur mort. Le secrétaire général des Nations unies,Antonio Guterres,s’est ainsi déclaré « profondément attristé » après le décès de Karim Al-Hussaini,dit l’Aga Khan,mardi 4 février,en qui il voyait « un symbole de paix,de tolérance et de compassion dans notre monde troublé ». « Sur tous les continents et auprès de toutes les cultures,il s’est employé à relever les plus grands défis humanitaires »,a renchéri le premier ministre canadien démissionnaire,Justin Trudeau.
Il faut dire qu’aux yeux du monde Karim Al-Hussaini était bien plus que le guide spirituel des quelque 12 millions à 15 millions d’ismaéliens nizârites – une branche de l’islam chiite – recensés à travers le monde,fonction pour laquelle il reçut le titre héréditaire d’« Aga Khan »,terme issu du turc et du persan désignant les leaders nizârites depuis le XIXᵉ siècle.
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