Richard Ferrand et Emmanuel Macron,lors de la campagne présidentielle,à Spézet (Finistère) le 5 avril 2022. JEAN-CLAUDE COUTAUSSE POUR « LE MONDE » Emmanuel Macron doit dévoiler,lundi 10 février,le nom du successeur pressenti pour remplacer Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Le suspense est limité,tant l’Elysée a préparé le terrain ces dernières semaines : c’est Richard Ferrand,62 ans,fidèle du président de la République,battu aux élections législatives de 2022,reconverti dans le conseil depuis,mais toujours influent en Macronie – François Bayrou s’était rendu à son domicile le 13 décembre 2024,alors que sa nomination à Matignon était en suspens –,qui devrait être le candidat du chef de l’Etat,a fait savoir l’entourage de celui-ci.
Le président (Les Républicains,LR) du Sénat,Gérard Larcher,et son homologue (Renaissance) de l’Assemblée nationale,Yaël Braun-Pivet,doivent par ailleurs dévoiler simultanément le nom de leur propre candidat pour remplacer deux autres membres du Conseil – Michel Pinault et Corinne Luquiens –,dont le mandat de neuf ans s’achève également le 7 mars. Les noms de Philippe Bas,sénateur (LR) de la Manche,et Laurence Vichnievsky,ex-députée (MoDem) du Puy-de-Dôme et ancienne magistrate,circulent.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.