COLCANOPA Le monde du financement participatif a soufflé,en 2024,ses dix bougies – plus précisément celles de l’ordonnance ayant encadré le secteur et permis son essor dans l’Hexagone.
Mais l’heure n’est pas à la fête : la somme collectée dans l’année par les plateformes auprès des investisseurs,un peu moins de 1,6 milliard d’euros,est en baisse d’environ 20 % par rapport à 2023,selon le baromètre du crowdfunding en France,réalisé par Forvis Mazars pourl’association professionnelle France FinTech. Après des années de croissance soutenue,une première déconvenue avait été enregistrée en 2023,avec une collecte globale en recul déjà de 14 %.
En cause,« des turbulences macroéconomiques et géopolitiques,et surtout une crise de l’immobilier qui se prolonge »,note l’étude,publiée le 12 févrer. Le secteur immobilier,essentiellement des marchands de biens et des promoteurs,est en effet le premier réceptacle du crowdfunding,par des prêts (obligations ou crédits rémunérant les investisseurs par des intérêts) et,dans une moindre mesure,des investissements en capital. Avec une collecte amputée de 26 % en 2024,l’immobilier ne pèse plus toutefois que la moitié de la collecte totale.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.