Nasser Al-Khelaïfi,lors d’un entraînement du PSG avant un match contre le Bayern Munich,à Munich,le 25 novembre 2024. FRANCK FIFE / AFP L’affaire Lagardère a entraîné de nouvelles mises en cause. Le président qatari du Paris Saint-Germain,Nasser Al-Khelaïfi,a été mis en examen,le 5 février,pour « complicité d’achat de vote et d’atteinte à la liberté du vote » et « complicité d’abus de pouvoirs au préjudice de la SCA Lagardère »,a indiqué au Monde,jeudi 13 février,une source judiciaire,confirmant une information de l’Agence France-Presse. Il n’a pas été placé sous contrôle judiciaire,selon cette source judiciaire.
« NAK » est mis en cause dans le cadre de l’un des deux volets de l’information judiciaire qui vise Arnaud Lagardère,mis en examen le 29 avril 2024 pour « achat de vote »,« abus de biens sociaux et abus de pouvoir » et « diffusion d’informations donnant des indications fausses ou trompeuses pour agir sur le cours d’un instrument financier,manipulation de marché ».
M. Al-Khelaïfi est soupçonné d’avoir aidé M. Lagardère à obtenir le vote favorable de Qatar Holding LLC,filiale du fonds souverain Qatar Investment Authority (QIA) et alors principal actionnaire de son groupe (13 % au capital et 19,5 % des droits de vote),lors de l’assemblée générale des actionnaires,le 3 mai 2018. Et ce en contrepartie d’une promesse faite aux Qataris : nommer Jamal Benomar,diplomate britanno-marocain proche de Doha,au conseil de surveillance de Lagardère SCA,pour y représenter les intérêts de l’émirat.
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