A Dakar,le 6 septembre 2023. JOHN WESSELS / AFP Présent en République démocratique du Congo (RDC) depuis 2012,Orange est confronté à l’une des plus graves crises que le groupe ait connues. Les violents combats survenus en janvier lors de la prise de Goma,la capitale de la région du Nord-Kivu,par les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda,ont provoqué d’importants dégâts sur les infrastructures de l’opérateur télécoms.
« A Goma,on a perdu une cinquantaine de sites techniques »,a expliqué Jérôme Hénique,le directeur exécutif de la zone Afrique et Moyen-Orient d’Orange,lors de la présentation,le 13 février,des résultats 2024 de l’entreprise. « Mais,ce qui est le plus important,c’est la sécurité de nos équipes. La plupart ont été placées en télétravail »,a ajouté le dirigeant.
En RDC,Orange compte près de 16 millions de clients dans la téléphonie mobile et réalise un chiffre d’affaires de 476 millions d’euros. Toutefois,selon M. Hénique,l’impact de cette guerre sur les résultats du groupe est « marginal ». Le Kivu représente environ 6 % des résultats d’Orange dans le pays et la RDC pèse 6 % également de toute la division Afrique et Moyen-Orient de l’opérateur.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
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