Emmanuel Macron,au Salon international de l’agriculture,le 22 février 2025. LAURENCE GEAI/MYOP POUR « LE MONDE » Contraste. Après le chaos de 2024,le 61e Salon international de l’agriculture a été inauguré dans le calme,aux premières heures de la matinée,et sous haute surveillance policière,samedi 22 février,au Parc des expositions de la porte de Versailles,à Paris,par Emmanuel Macron. Avant l’ouverture,au premier étage du hall 1,auquel le public n’a pas eu tout de suite accès,le président de la République a rencontré un à un les syndicats d’exploitants agricoles : Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA),Jeunes Agriculteurs (JA),Confédération paysanne et Coordination rurale (CR),représentants d’une colère agricole qui s’est peu à peu muée en une inquiétude latente et une forte attente.
« Nos agriculteurs ne peuvent pas être la variable d’ajustement » du pouvoir d’achat et des accords commerciaux,a déclaré M. Macron,devant un panel de journalistes,espérant précisément apaiser cette inquiétude,juste avant d’aller couper le traditionnel ruban tricolore,sous l’œil d’Oupette,la vache limousine égérie de l’édition 2025.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.