Un membre du personnel médical s’occupe d’un patient de Covid-19 sous assistance respiratoire,dans une chambre du service de soins intensifs du Centre hospitalier universitaire (CHU) Pierre Zobda-Quitman à Fort-de-France,sur l’île française des Caraïbes de la Martinique,le 29 août 2021. ALAIN JOCARD / AFP L’auditoire était venu nombreux,un vendredi soir de janvier,dans l’amphithéâtre Frantz-Fanon de la faculté de droit de la Martinique,à Schoelcher,pour assister à une conférence intitulée « La pandémie de Covid : quels enseignements pour notre système de santé en Martinique ? ». Invités par une association de juristes,plusieurs praticiens du Centre hospitalier universitaire (CHU) se succèdent sur l’estrade et présentent,graphiques à l’appui,un bilan sur l’île de 350 000 habitants et les nouvelles dispositions du CHU pour faire face à une future épidémie.
Durant la séance de questions et réponses,le débat s’anime,notamment autour de la question de la vaccination contre le Covid-19,qui avait suscité beaucoup de défiance au sein de la population martiniquaise,ainsi qu’à la Guadeloupe voisine. « Il ne fallait pas vacciner en pleine pandémie : ça fait chuter le taux de globules blancs »,assène un enseignant dans l’assistance.
« Des gens continuent d’affirmer des choses qui ne sont pas de leur compétence »,rétorque Lucien Lin,le président de l’ordre départemental des médecins de la Martinique. « La confiance entre la population et le corps médical a été rompue pendant la pandémie,déplore cet endocrinologue à l’hôpital de La Trinité. On a dit que les médecins tuaient des gens ! »
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