Une fusée Falcon 9,de SpaceX,décolle de la base spatiale de Cap Canaveral (Etats-Unis) pour installer vingt et un satellites Starlink,le 10 janvier 2025. CRAIG BAILEY/FLORIDA TODAY/USA TODAY NETWORK VIA REUTERS Elon Musk n’ira pas au Mobile World Congress,le salon des télécoms qui se tient du 3 au 6 mars à Barcelone,en Espagne. Mais le milliardaire sera dans tous les esprits,pas seulement pour son rôle auprès de Donald Trump. Starlink,sa constellation satellitaire,bouscule un peu plus l’univers du secteur.
Après son offre de connexion à Internet,accessible dans plus de cent pays,dont la France,depuis 2021 − elle comptait,en septembre 2024,plus de quatre millions de clients dans le monde −,Elon Musk vise le mobile. Starlink a lancé,le 9 février,avec l’opérateur américain T-Mobile,une solution dite « direct to cell »,qui permet d’utiliser un appareil 4G standard,même dans les zones où il n’y a aucune antenne de téléphonie mobile. Pour l’instant,ce service ne peut envoyer que des SMS. Mais les prochaines générations de satellites devraient permettre des appels voix et vidéo.
En phase de test,l’offre sera commercialisée aux Etats-Unis à partir de juillet. Et Starlink vise grand : le 10 février,T-Mobile et lui se sont offert une publicité à la mi-temps du Superbowl,la finale du championnat de football américain,pour promouvoir le service auprès des 130 millions de téléspectateurs.
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