Lors de la conférence Bitcoin 2024 à Nashville (Tennessee),le 26 juillet 2024. LIAM KENNEDY/BLOOMBERG VIA GETTY IMAGES « Je veux être l’Elon Musk des cryptos. » A 34 ans,le Chinois Justin Sun,fondateur de la plateforme de cryptomonnaie Tron,fait partie de cette cryptogalaxie qui s’est entichée du président américain,Donald Trump,et lui fait allégeance,espérant accélérer sa propre fortune. Comme son mentor,récemment converti aux bitcoins,l’homme vit dans ce monde fait de toc et de trafic d’influence,en apparence virtuel,mais où l’argent bien réel coule à flots.
Le 21 novembre 2024,chez Sotheby’s,à New York,Justin Sun a ainsi acheté aux enchères l’œuvre Comedian,de l’artiste italien Maurizio Cattelan – une simple banane collée par un sparadrap contre un mur. Prix : 6,24 millions de dollars (5,8 millions d’euros). « Ce n’est pas seulement une œuvre d’art,a déclaré Justin Sun. Il s’agit d’un phénomène culturel qui relie les mondes de l’art,des mèmes et la communauté des cryptomonnaies. » Il s’agit surtout de la démonstration que l’on peut faire fortune à partir de rien – une banane et un sparadrap –,tout comme dans les cryptomonnaies,jetons numériques qui ne valent que par la confiance que leur accordent les investisseurs.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Des associations ont agrégé les listes noires des gérants d’actifs et fonds de pension mondiaux. Y figurent près de 5 500 entreprises, dont 73 françaises, dans lesquelles ces sociétés financières refusent d’investir, les jugeant nuisibles à la planète ou à la société.