Joël Le Scouarnec répond aux questions de la présidente lors de son procès,à Vannes,le 22 avril 2025. SERGIO AQUINDO POUR « LE MONDE » « Monsieur Le Scouarnec,levez-vous s’il vous plaît. »
Il se lève. La présidente et l’accusé se regardent devant la cour criminelle de Vannes.
« Qu’avez-vous à dire ? » Du box,s’élève un murmure monocorde : « C’est un viol,je le reconnais. Mais je ne me rappelle de rien,je suis désolé. Je demande pardon… »
Durant les trois mois de procès,ces phrases ont retenti tant de fois,ponctuant mot par mot l’évocation de chacune des 299 victimes présumées qu’un jour,à la fin d’une audience interminable,Joël Le Scouarnec,74 ans,s’était levé,épaules voûtées,rompu de fatigue et s’était mis à psalmodier sans qu’on lui demande rien : « C’est un viol,je le reconnais… » Dans le public,exténué lui aussi,un groupe de victimes s’était regardé. Certaines riaient,d’autres pleuraient.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
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