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Yunice Abbas (au centre) et son avocat,Gabriel Dumenil,à Paris,le 28 avril 2025. BERTRAND GUAY / AFP Dans l’enquête de la brigade de répression du banditisme (BRB) sur le braquage de Kim Kardashian dans son hôtel parisien,la nuit du 2 au 3 octobre 2016,l’avocate générale Anne-Dominique Merville prend tout : les preuves,les indices et les intuitions des policiers. Il n’y a pas eu l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette entre la synthèse présentée,lundi 5 mai,par le chef de l’investigation,Michel Malecot,devant la cour d’assises de Paris et les jurés et le réquisitoire prononcé,mercredi 21 mai,par la représentante de l’accusation. « Tous coupables »,a-t-elle affirmé.
Contre les quatre hommes soupçonnés d’avoir directement participé au braquage,Aomar Aït Khedache,69 ans,Yunice Abbas,71 ans,Didier Dubreucq,70 ans,et le benjamin du dossier,Marc-Alexandre Boyer,35 ans,elle a requis dix ans d’emprisonnement. Des « braqueurs chevronnés qui ont monté un coup et l’ont réussi »,a insisté la représentante de l’accusation,à propos des trois accusés âgés. Contre Harminy Aït Khedache,38 ans,fils d’Aomar,qui a convoyé une partie des malfaiteurs la nuit du 3 octobre 2016,elle a demandé huit ans d’emprisonnement.
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Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.
