Un centre Amazon,à Brétigny-sur-Orge (Essonne),le 14 décembre 2021. THOMAS SAMSON/AFP Amazon,deuxième saison… Après avoir rendu un premier avis le 12 février sur la livraison gratuite de livres envoyés par le géant de l’e-commerce dans des centaines de casiers automatisés,le médiateur du livre,Jean-Philippe Mochon,a publié un nouvel avis sur cette question,mardi 27 mai. Depuis le 7 octobre 2023,date d’entrée en vigueur de la loi Darcos qui vise à soutenir les librairies indépendantes,tous les vendeurs en ligne doivent facturer au minimum 3 euros la livraison de livres,pour une commande inférieure à 35 euros. La livraison peut être gratuite au-delà de ce seuil.
Jouant sur une faille de la loi,Amazon livre gratuitement,depuis le 5 novembre 2024,dans des casiers automatisés situés dans des galeries marchandes de supermarchés,des comptoirs à la caisse ou à l’accueil de supermarchés ou d’hypermarchés. Ces consignes automatisées représenteraient,selon le médiateur,un tiers des 2 500 points de retrait gratuits proposés en France par le groupe américain. Dans son premier avis,le médiateur avait estimé que la livraison gratuite semblait conforme à la loi si le retrait s’effectuait à la caisse ou au service client d’un commerce qui vend des livres (soit deux tiers des points de retrait utilisés par Amazon). Mais il estimait que le retrait gratuit dans des casiers automatiques n’était pas conforme à la loi.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Des associations ont agrégé les listes noires des gérants d’actifs et fonds de pension mondiaux. Y figurent près de 5 500 entreprises, dont 73 françaises, dans lesquelles ces sociétés financières refusent d’investir, les jugeant nuisibles à la planète ou à la société.